Mise à jour le 26 avr. 2024
Bonjour Damien, vous êtes un ancien étudiant du master Informatique SISE.
Diplômé en 2019, vous travaillez aujourd'hui en tant qu'ingénieur en logiciel d'intelligence artificielle chez 365 talents.
Quel a été votre parcours après le master ?
Après le master, j’ai été recruté en CDI par l’entreprise Teamwork qui m’avait prise en stage. Je suis resté dans cette entreprise pendant 3 ans.
Et depuis septembre 2022, j’ai intégré 365 talents qui travaille sur des logiciels de gestion de compétences pour les Ressources Humaines. C’est partie d’une sollicitation de leur part sur LinkedIn et j’ai décidé de faire suite. Je commençais à tourner en rond chez TeamWork et je trouvais qu’ils ne mettaient pas assez l'accent sur la Data Science et l’IA alors qu’il y avait un grand potentiel derrière. Et moi, c’était ce qui m’intéressait. J'ai trouvé cela chez 365 talents avec des projets plus longs sur des technologies poussés de manière plus approfondies. Je souhaitais également travailler dans une plus petite structure.
Pouvez-vous nous décrire brièvement votre métier ainsi que vos missions ?
Nous sommes aujourd'hui une équipe de 6 personnes dédié aux aspects de l’Intelligence Artificielle qui intègre la Data Science et cela constitue la colonne vertébrale de l’application que nous vendons.
On peut faire des gestions de mobilité interne, c'est-à-dire des personnes dans des grandes entreprises qui souhaitent changer de postes. Alors les ressources humaines ouvrent des postes et peuvent utiliser un logiciel pour faire un lien entre ces personnes et les nouveaux postes. Nos clients sont principalement de grandes entreprises avec plus de six milles employé.es à qui la gestion de mobilité interne devient indispensable.
Quelles sont les missions que vous préférez et celles que vous aimez le moins ?
Je dirais que je préfère tout ce qui touche à la recherche en lien avec l’innovation. Faire des tests et arriver à proposer des choses nouvelles pour les clients et l'entreprise.
Ce que j’apprécie le moins ce sont les projets très longs. J'ai également plus de mal pour former des personnes. Je n'aime pas non plus perdre du temps sur des choses qui n'en valent pas forcément la peine.
Qui sont vos interlocuteurs au quotidien ? Sur des occasions spécifiques ?
Mes interlocuteurs au quotidien sont les membres de mon équipe. Puis les autres équipes de l'entreprise comme celles qui s’occupent de la technique, de l’interface, etc.
Au sein de l'équipe on essaie parfois d’assister à des conférences et des événements tels que des salons en lien avec l’univers de l’IA. Par exemple cette année, nous serons présent à Vivatech, un événement mondial sur la technologie qui se tiendra à Paris.
On suit aussi beaucoup d’événements en ligne, que ce soit des formations ou des informations sur des sujets importants.
Quelle est votre journée type au poste que vous occupez ?
Je commence essentiellement vers 9 h avec du codage en fonction de ce qu’il y a à faire. Ensuite, il y a une réunion d'équipe à 9h45 pour faire un point de synchro pendant 15 min. Puis après, jusqu’à midi, je travaille sur des sujets spécifiques principalement des algorithmes.
Il y a toujours des petites réunions dans la semaine pour se tenir au courant de l’avancée des autres groupes.
L’après-midi on peut faire des ateliers, des réunions de réflexions ou continuer le codage.
A quelle tranche de salaire appartenez-vous ?
Je suis à 55 000€ net par an. Ce qui fait environ 3 400€ net par mois.
En quoi diriez-vous que votre formation en master SISE vous est utile aujourd’hui au poste que vous occupez ?
Alors avant d’intégrer le master, je faisais déjà de l’informatique mais je voulais retrouver un niveau technique. Cela m'a permis de me remettre à jour sur les langages informatiques, de découvrir de nouveaux champs d’application.
Tout ce que je fais maintenant provient des bases et des socles que l’on a vu pendant le master.
Quel souvenir gardez-vous de ce master ?
J’en garde un excellent souvenir. Il y avait une bonne ambiance et une bonne énergie. J’ai adoré me retrouver avec des personnes plus jeunes que moi.
Travailler avec les encadrants était super. Surtout Ricco, le responsable.
Ce n’était pas facile, non plus. Il y avait beaucoup de projets, il fallait travailler le week-end, ce que je n'avais plus l’habitude de faire. J'étais dans le monde professionnel avant donc retrouver un rythme scolaire était difficile à gérer. Mais c’était toujours avec plaisir et au final tout s’est bien passé.
Quel(s) conseils donneriez-vous aux étudiant.es intéressé.es par ce parcours ?
Ce qui peut rassurer, c’est que le programme du master est toujours en lien avec l’actualité du secteur. Secteur qui évolue très vite. Donc les étudiant.es qui ressortent du master sont en adéquation avec ce que cherche les entreprises.
Les cours sont de très bonne qualité. Ils abordent plusieurs aspects de l’informatique et permettent de se construire un bagage bien solide pour les années à venir.
Diplômé en 2019, vous travaillez aujourd'hui en tant qu'ingénieur en logiciel d'intelligence artificielle chez 365 talents.
Quel a été votre parcours après le master ?
Après le master, j’ai été recruté en CDI par l’entreprise Teamwork qui m’avait prise en stage. Je suis resté dans cette entreprise pendant 3 ans.
Et depuis septembre 2022, j’ai intégré 365 talents qui travaille sur des logiciels de gestion de compétences pour les Ressources Humaines. C’est partie d’une sollicitation de leur part sur LinkedIn et j’ai décidé de faire suite. Je commençais à tourner en rond chez TeamWork et je trouvais qu’ils ne mettaient pas assez l'accent sur la Data Science et l’IA alors qu’il y avait un grand potentiel derrière. Et moi, c’était ce qui m’intéressait. J'ai trouvé cela chez 365 talents avec des projets plus longs sur des technologies poussés de manière plus approfondies. Je souhaitais également travailler dans une plus petite structure.
Pouvez-vous nous décrire brièvement votre métier ainsi que vos missions ?
Nous sommes aujourd'hui une équipe de 6 personnes dédié aux aspects de l’Intelligence Artificielle qui intègre la Data Science et cela constitue la colonne vertébrale de l’application que nous vendons.
On peut faire des gestions de mobilité interne, c'est-à-dire des personnes dans des grandes entreprises qui souhaitent changer de postes. Alors les ressources humaines ouvrent des postes et peuvent utiliser un logiciel pour faire un lien entre ces personnes et les nouveaux postes. Nos clients sont principalement de grandes entreprises avec plus de six milles employé.es à qui la gestion de mobilité interne devient indispensable.
Quelles sont les missions que vous préférez et celles que vous aimez le moins ?
Je dirais que je préfère tout ce qui touche à la recherche en lien avec l’innovation. Faire des tests et arriver à proposer des choses nouvelles pour les clients et l'entreprise.
Ce que j’apprécie le moins ce sont les projets très longs. J'ai également plus de mal pour former des personnes. Je n'aime pas non plus perdre du temps sur des choses qui n'en valent pas forcément la peine.
Qui sont vos interlocuteurs au quotidien ? Sur des occasions spécifiques ?
Mes interlocuteurs au quotidien sont les membres de mon équipe. Puis les autres équipes de l'entreprise comme celles qui s’occupent de la technique, de l’interface, etc.
Au sein de l'équipe on essaie parfois d’assister à des conférences et des événements tels que des salons en lien avec l’univers de l’IA. Par exemple cette année, nous serons présent à Vivatech, un événement mondial sur la technologie qui se tiendra à Paris.
On suit aussi beaucoup d’événements en ligne, que ce soit des formations ou des informations sur des sujets importants.
Quelle est votre journée type au poste que vous occupez ?
Je commence essentiellement vers 9 h avec du codage en fonction de ce qu’il y a à faire. Ensuite, il y a une réunion d'équipe à 9h45 pour faire un point de synchro pendant 15 min. Puis après, jusqu’à midi, je travaille sur des sujets spécifiques principalement des algorithmes.
Il y a toujours des petites réunions dans la semaine pour se tenir au courant de l’avancée des autres groupes.
L’après-midi on peut faire des ateliers, des réunions de réflexions ou continuer le codage.
A quelle tranche de salaire appartenez-vous ?
Je suis à 55 000€ net par an. Ce qui fait environ 3 400€ net par mois.
En quoi diriez-vous que votre formation en master SISE vous est utile aujourd’hui au poste que vous occupez ?
Alors avant d’intégrer le master, je faisais déjà de l’informatique mais je voulais retrouver un niveau technique. Cela m'a permis de me remettre à jour sur les langages informatiques, de découvrir de nouveaux champs d’application.
Tout ce que je fais maintenant provient des bases et des socles que l’on a vu pendant le master.
Quel souvenir gardez-vous de ce master ?
J’en garde un excellent souvenir. Il y avait une bonne ambiance et une bonne énergie. J’ai adoré me retrouver avec des personnes plus jeunes que moi.
Travailler avec les encadrants était super. Surtout Ricco, le responsable.
Ce n’était pas facile, non plus. Il y avait beaucoup de projets, il fallait travailler le week-end, ce que je n'avais plus l’habitude de faire. J'étais dans le monde professionnel avant donc retrouver un rythme scolaire était difficile à gérer. Mais c’était toujours avec plaisir et au final tout s’est bien passé.
Quel(s) conseils donneriez-vous aux étudiant.es intéressé.es par ce parcours ?
Ce qui peut rassurer, c’est que le programme du master est toujours en lien avec l’actualité du secteur. Secteur qui évolue très vite. Donc les étudiant.es qui ressortent du master sont en adéquation avec ce que cherche les entreprises.
Les cours sont de très bonne qualité. Ils abordent plusieurs aspects de l’informatique et permettent de se construire un bagage bien solide pour les années à venir.
En savoir plus sur la formation de Damien !