Mise à jour le 26 avr. 2024
Bonjour Nadège, vous êtes une ancienne étudiante du master Information-Communication GECI.
Diplômée en 2022, vous travaillez aujourd'hui en tant que rédactrice web dans une agence SEO lyonnaise.
Pouvez-vous nous décrire votre parcours après le master ?
J’ai toujours eu une affinité avec l’écriture et le web. Lors de ma recherche de stage en deuxième année de master, j’ai donc pris le temps de trier les offres pour ne garder que celles qui proposaient une part rédactionnelle dans les missions. Cela m’a finalement menée à un stage de 6 mois au sein d’une petite agence SEO lyonnaise. À la suite de mon stage en tant que rédactrice web, j’ai eu la chance de pouvoir poursuivre dans la même agence et au même poste, mais bien évidemment sous un autre contrat.
Pourriez-vous nous décrire brièvement votre métier ainsi que vos missions ?
Aujourd’hui, je travaille en tant que rédactrice web, au sein du pôle éditorial d’une agence SEO lyonnaise. Il s’agit de mon deuxième et dernier CDD de six mois, avant l’évolution prochaine vers un CDI.
Comme son nom l’indique, un⸱e rédacteur⸱trice web passe ses journées à rédiger des textes optimisés pour le web, en adéquation avec les attentes des clients. Ces textes peuvent prendre la forme d’articles de blog, de footers, de fiches produits et plus encore. Un⸱e rédacteur⸱trice web doit parvenir à combiner des techniques SEO à une rédaction claire et agréable à lire. La recherche d’informations occupe aussi une place importante dans ce métier puisqu’il faut toujours prendre le temps de trouver et de vérifier ses sources (un atout certain face à ChatGPT). Parfois, nous devons également utiliser WordPress pour mettre nous-mêmes des articles en ligne, directement sur le site web du client.
Quelles sont les missions que vous préférez et celles que vous aimez le moins ?
Comme le métier de rédacteur⸱trice web est plutôt focalisé sur une grande et même mission, je vais plutôt parler des facettes de la rédaction web. Forcément, j’aime beaucoup rédiger, informer les autres et m’informer moi-même via mes multiples recherches d’informations. De plus, le SEO éditorial, et toutes les petites stratégies qui peuvent être mises en place pour faire ranker un texte sur Google, m’intéressent également puisqu’il y a un autre type de réflexion à avoir ici : les mots-clés, les sites concurrents, le score d’optimisation idéal, etc.
Dans mon cas, j’ai la chance de pouvoir travailler avec plusieurs typologies de clients et donc de sujets, ce qui me permet de varier mes rédactions. En revanche, je sais que certaines thématiques peuvent être plus complexes à traiter que d’autres. Elles demandent par conséquent un temps de travail plus long et délicat, comme cela est le cas avec les sujets autour des assurances et de l’immobilier. C’est un challenge ! Par ailleurs, il faut parfois enchaîner la rédaction de textes courts et répétitifs comme les fiches produits, ce qui est moins stimulant au quotidien.
Qui sont vos interlocuteurs au quotidien ou lors d'occasions spécifiques ?
Aujourd’hui, je travaille exclusivement avec les autres rédacteurs⸱trices web de l’agence, ainsi qu’avec le responsable du pôle éditorial, au cœur d’un open space. Les rédacteurs⸱trices web avec plus d’expérience et d’ancienneté que moi communiquent parfois avec les clients (visios, mails, etc.) pour proposer des stratégies éditoriales, faire remonter des questions ou obtenir des retours sur nos textes.
Quelle est votre journée type au poste que vous occupez ?
De 9h à 18h, je prends connaissance de mon planning et des briefs, je rédige les textes dans l’ordre de priorité et je les optimise pour le web en parallèle, à l’aide d’outils SEO tels que YourTextGuru. Il faut parfois aussi rédiger la meta description et la meta title puis passer les textes en HTML pour les clients.
Pouvez-vous nous indiquer à quelle tranche de salaire vous appartenez ?
Je me trouve actuellement dans la tranche haute des 15 000 – 25 000 euros bruts par an.
En quoi diriez-vous que votre formation en master GECI vous est utile aujourd’hui au poste que vous occupez ?
D’abord, le master GECI m’a permis d’étudier le web sous diverses formes, notamment à travers ces enseignements : les langages informatiques (HTML, CSS), la stratégie digitale (savoir définir les cibles, le positionnement, le message, etc.), le référencement naturel, le marketing ou encore les techniques d’intégration web (WordPress). J’utilise régulièrement les connaissances acquises lors de ces enseignements dans mon métier actuel. Par exemple, j’ai très vite pu prendre en main YourTextGuru ou Canva, et coder mes textes en HTML, tout en sachant exactement comment adapter le ton de mes textes en fonction du client.
Ensuite, ma qualité rédactionnelle s’est également affinée lors de la rédaction des différents rendus de master, du partiel aux mémoires (en M1 et en M2). Les gros projets comme le webzine m’ont également permis de découvrir le travail de groupe à plus grande échelle, ce qui facilite l’arrivée réelle dans le monde professionnel.
Quel souvenir gardez-vous de ce master ?
Je garde aujourd’hui un très bon souvenir du master GECI, notamment en ce qui concerne le point d’équilibre établi entre la théorie et le côté plus professionnalisant de la formation. Les enseignements reçus ont tous été d’une grande qualité au cours des deux années. Le master GECI nous aide vraiment à développer une réflexion complète autour de la gestion éditoriale et de la communication web, tout en nous enseignant des savoir-faire utiles et adaptés au monde professionnel. La bonne ambiance globale qui règne dans ce master facilite aussi grandement l’apprentissage et l’épanouissement personnel !
Quel(s) conseil(s) donneriez-vous aux étudiant.es intéressé.es par ce parcours ?
Il faut rester curieux⸱se, aimer s’informer, écrire, créer, savoir écouter les autres et être à l’aise avec l’idée que le master GECI consacre une grande part de ses enseignements à la théorie de l’information et de la communication, notamment en première année.
Je tiens juste à préciser que le métier de rédacteur·trice web peut ensuite vous amener à évoluer vers des postes tels que responsable éditorial ou encore Content Manager.
Diplômée en 2022, vous travaillez aujourd'hui en tant que rédactrice web dans une agence SEO lyonnaise.
Pouvez-vous nous décrire votre parcours après le master ?
J’ai toujours eu une affinité avec l’écriture et le web. Lors de ma recherche de stage en deuxième année de master, j’ai donc pris le temps de trier les offres pour ne garder que celles qui proposaient une part rédactionnelle dans les missions. Cela m’a finalement menée à un stage de 6 mois au sein d’une petite agence SEO lyonnaise. À la suite de mon stage en tant que rédactrice web, j’ai eu la chance de pouvoir poursuivre dans la même agence et au même poste, mais bien évidemment sous un autre contrat.
Pourriez-vous nous décrire brièvement votre métier ainsi que vos missions ?
Aujourd’hui, je travaille en tant que rédactrice web, au sein du pôle éditorial d’une agence SEO lyonnaise. Il s’agit de mon deuxième et dernier CDD de six mois, avant l’évolution prochaine vers un CDI.
Comme son nom l’indique, un⸱e rédacteur⸱trice web passe ses journées à rédiger des textes optimisés pour le web, en adéquation avec les attentes des clients. Ces textes peuvent prendre la forme d’articles de blog, de footers, de fiches produits et plus encore. Un⸱e rédacteur⸱trice web doit parvenir à combiner des techniques SEO à une rédaction claire et agréable à lire. La recherche d’informations occupe aussi une place importante dans ce métier puisqu’il faut toujours prendre le temps de trouver et de vérifier ses sources (un atout certain face à ChatGPT). Parfois, nous devons également utiliser WordPress pour mettre nous-mêmes des articles en ligne, directement sur le site web du client.
Quelles sont les missions que vous préférez et celles que vous aimez le moins ?
Comme le métier de rédacteur⸱trice web est plutôt focalisé sur une grande et même mission, je vais plutôt parler des facettes de la rédaction web. Forcément, j’aime beaucoup rédiger, informer les autres et m’informer moi-même via mes multiples recherches d’informations. De plus, le SEO éditorial, et toutes les petites stratégies qui peuvent être mises en place pour faire ranker un texte sur Google, m’intéressent également puisqu’il y a un autre type de réflexion à avoir ici : les mots-clés, les sites concurrents, le score d’optimisation idéal, etc.
Dans mon cas, j’ai la chance de pouvoir travailler avec plusieurs typologies de clients et donc de sujets, ce qui me permet de varier mes rédactions. En revanche, je sais que certaines thématiques peuvent être plus complexes à traiter que d’autres. Elles demandent par conséquent un temps de travail plus long et délicat, comme cela est le cas avec les sujets autour des assurances et de l’immobilier. C’est un challenge ! Par ailleurs, il faut parfois enchaîner la rédaction de textes courts et répétitifs comme les fiches produits, ce qui est moins stimulant au quotidien.
Qui sont vos interlocuteurs au quotidien ou lors d'occasions spécifiques ?
Aujourd’hui, je travaille exclusivement avec les autres rédacteurs⸱trices web de l’agence, ainsi qu’avec le responsable du pôle éditorial, au cœur d’un open space. Les rédacteurs⸱trices web avec plus d’expérience et d’ancienneté que moi communiquent parfois avec les clients (visios, mails, etc.) pour proposer des stratégies éditoriales, faire remonter des questions ou obtenir des retours sur nos textes.
Quelle est votre journée type au poste que vous occupez ?
De 9h à 18h, je prends connaissance de mon planning et des briefs, je rédige les textes dans l’ordre de priorité et je les optimise pour le web en parallèle, à l’aide d’outils SEO tels que YourTextGuru. Il faut parfois aussi rédiger la meta description et la meta title puis passer les textes en HTML pour les clients.
Pouvez-vous nous indiquer à quelle tranche de salaire vous appartenez ?
Je me trouve actuellement dans la tranche haute des 15 000 – 25 000 euros bruts par an.
En quoi diriez-vous que votre formation en master GECI vous est utile aujourd’hui au poste que vous occupez ?
D’abord, le master GECI m’a permis d’étudier le web sous diverses formes, notamment à travers ces enseignements : les langages informatiques (HTML, CSS), la stratégie digitale (savoir définir les cibles, le positionnement, le message, etc.), le référencement naturel, le marketing ou encore les techniques d’intégration web (WordPress). J’utilise régulièrement les connaissances acquises lors de ces enseignements dans mon métier actuel. Par exemple, j’ai très vite pu prendre en main YourTextGuru ou Canva, et coder mes textes en HTML, tout en sachant exactement comment adapter le ton de mes textes en fonction du client.
Ensuite, ma qualité rédactionnelle s’est également affinée lors de la rédaction des différents rendus de master, du partiel aux mémoires (en M1 et en M2). Les gros projets comme le webzine m’ont également permis de découvrir le travail de groupe à plus grande échelle, ce qui facilite l’arrivée réelle dans le monde professionnel.
Quel souvenir gardez-vous de ce master ?
Je garde aujourd’hui un très bon souvenir du master GECI, notamment en ce qui concerne le point d’équilibre établi entre la théorie et le côté plus professionnalisant de la formation. Les enseignements reçus ont tous été d’une grande qualité au cours des deux années. Le master GECI nous aide vraiment à développer une réflexion complète autour de la gestion éditoriale et de la communication web, tout en nous enseignant des savoir-faire utiles et adaptés au monde professionnel. La bonne ambiance globale qui règne dans ce master facilite aussi grandement l’apprentissage et l’épanouissement personnel !
Quel(s) conseil(s) donneriez-vous aux étudiant.es intéressé.es par ce parcours ?
Il faut rester curieux⸱se, aimer s’informer, écrire, créer, savoir écouter les autres et être à l’aise avec l’idée que le master GECI consacre une grande part de ses enseignements à la théorie de l’information et de la communication, notamment en première année.
Je tiens juste à préciser que le métier de rédacteur·trice web peut ensuite vous amener à évoluer vers des postes tels que responsable éditorial ou encore Content Manager.
Nadège Doustaly, diplômée d'un master Information - Communication - Gestion Editoriale et Communication Internet en 2022
En savoir plus sur la formation de Nadège !